#Rihanna…l’été… vit dans ton con ?
Poursuite du mouvement de #grève à la #SARA : Le préfet de #Martinique prend des mesures de réquisitions de stations services au profit des services prioritaires
Un mouvement de grève d’une partie des salariés de la SARA en bloque les accès depuis mardi 3 juin 2014, empêchant la distribution de carburant et par conséquence le réapprovisionnement des stations services de l’île. En l’état actuel, l’approvisionnement normal en carburants est très difficile ce qui compromet la continuité des services prioritaires. Compte-tenu de la nécessité pour les services prioritaires de disposer de ressources en carburants suffisantes pour exercer leurs missions, le préfet de la Martinique a donc décidé de prendre pour la journée du vendredi 6 juin 2014, des mesures de réquisition pour 6 stations-services. La distribution de carburants aux usagers prioritaires s’effectuera aux horaires ci-dessous :
– VITO Aéroport de 7h00 à 13h00
– VITO Trinité et TOTAL Ducos de 8h00 à 12h00
- ESSO Case-Pilote de 8h00 à 17h00
– VITO Lorrain
et TOTAL Sainte-Luce de 13h00 à 17h00
Les policiers et gendarmes assureront la régulation de la circulation aux abords de ces 6 stations qui seront réservées aux seuls usagers prioritaires dont la liste figure ci-jointe. Une carte professionnelle sera exigée pour obtenir un réapprovisionnement. Le préfet invite chacun au civisme : seuls les personnes et véhicules considérés comme prioritaires pourront accéder à ces stations. Le préfet demande également à ceux qui, parmi les services et usagers prioritaires, disposeraient encore de suffisamment de carburant, de ne pas encombrer inutilement les files devant les stations. Il est rappelé que l’approvisionnement en jerricans et dans tout récipient transportable, qui pose de graves problèmes pour la sécurité des personnes, est interdit.
InstagrAmsterdam
[VIDEO] Petit test de la vidéo de #Instagram à #Amsterdam. A suivre.
CONFLIT DE LA #SARA COMMUNIQUÉ DE SERGE #LETCHIMY
Dans un contexte international et local très contraignant, notre pays se relève difficilement d’une situation économique précaire.
Respectueux de la démocratie sociale, du droit syndical.
Respectueux des grands équilibres des entreprises locales.
J’appelle les deux parties au dialogue pour trouver de toute urgence une solution équitable.
Un tel acte de responsabilité éviterait de fragiliser encore plus notre économie.
Le blocage total du pays aura des conséquences inimaginables et incontrôlables.
J’appelle donc à la raison,
J’appelle la responsabilité,
J’appelle à la solidarité de tous.
Serge Letchimy.
Joue et tente de gagner ta place pour aller voir #ORLANE à l’Atrium en #Martinique
Le 27 juin 2014 à 20 heures, la chanteuse #Orlane sera entre Swing et douceur à l’Atrium en #Martinique. Tu veux partager ce grand moment d’émotion ? Alors joue et tente de gagner ta place en laissant ton nom et ton prénom sur le lien suivant :
Quand la politesse manque d’ingénierie en #Martinique…
Dans la rubrique « jodia sé poko jou mwen » voilà ce qu’a vécu une femme soucieuse du développement durable et solidaire en #Martinique.
Récit : « A la banque dans une longue file d’attente je vois une femme, avec un ventre assez gros, très sexy qui arrive.
Me disant qu’il faut laisser la priorité aux femmes enceintes, et point étonnée par l’extravagance de sa tenue (de nos jours les femmes enceintes sont encore plus nues que les autres), je lui dis:
- Vous êtes enceinte madame, je vous laisse ma place
Ayayayayayeee kisa mwen alé di madam la, i fouté mwen yon trètman
- Bouden mwen pli gwo ki taw la, oubyen sé nonm manman’w ki koupé mwen ?
Face à ce langage fleuri à souhait, elle ne dit mot, et elle n’avait pas le choix
Mwen pé di zot’ ke aprézan, mwen sé wè an fanm ka akouché an bank la, mwen péké kité plas mwen ba’y.
On vit tout simplement une époque formidable en pleine démocratie participative.
Affaire #CEREGMIA : #MEDIAPART poursuit l’enquête
De nouvelles révélations dans l’affaire scandaleuse qui doit donner des nuits blanches à certains hommes politiques et à leurs affidés en #Martinique et qui montre combien la presse locale est aux ordres ou bâillonnée.
Extraits : « L’entourage de Serge #Letchimy dénonce quant à lui une « instrumentalisation médiatico-politique » menée selon lui par la présidente de l’université, soutenue par le mouvement indépendantiste martiniquais «pour déstabiliser le président de région, préparer les élections en vue de la future #CTM et pour cette assoiffée de pouvoir, négocier une bonne place en son sein », écrit, dans un courriel que s’est procuré Mediapart, le directeur de cabinet de Serge Letchimy, Jean-François #Lafontaine. »
Sordide.
Cliquer sur le lien : http://www.casimages.com/f.php?f=14060705523063133.pdf
Le #métissage la richesse de la #Martinique
Fin du conflit à la #SARA en #Martinique
La nouvelle vient de tomber tôt ce matin à l’orée du week-end de la Pentecôte . Fin du conflit à la #SARA en #Martinique. La #grève n’est plus à l’ordre du jour. Reste à connaître les données de cette décision. Le chargement des camions-citerne et le ravitaillement des stations devraient reprendre ce jour. A suivre.
« Li Té Ve War » a fait fureur au Casino de #Paris
Quand on vous dit Casino de Paris, vous pensez tout de suite à des joueurs bourrés d’adrénaline s’adonnant aux plaisirs des machines à sous, du blackjack, du poker et autres jeux de tables, dans une ambiance feutrée de rouge et un torrent de bruits électronique et de « faites vos jeux ! ». Et bien vous avez tout faux (à part pour la couleur rouge) car le Casino de Paris est une grande salle de spectacle et de concert très réputée. Le mot d’origine italienne « Casino » sous-entend « petite maison » et ne réfère pas aux jeux d’argent et de hasard. Mais cette définition du mot ne colle pas non plus avec le lieu : Le Casino de Paris n’a rien de petit avec ces 1500 places et sa programmation internationale. C’était donc le lieu rêvé pour découvrir le projet de Lydie Géraud, directrice du chœur d’enfants Amadeus et de la chorale Ker ‘EDF. « Li Té Ve War », ou en Français « Elle voulait voir », est la première rencontre réussie de deux grands artistes, Davy Sicard et Danyèl Waro qui mélangent leur talent pour nous présenter un spectacle musical fort et inoubliable. Ce que les auteurs ont cherché à transmettre, c’est le constat objectif des enfants sur la nécessité de posséder une identité pour s’ouvrir au monde. Le message fort du spectacle est que l’école n’enseigne pas le patrimoine et qu’il faut chercher à connaitre et comprendre son Histoire.
Cette comédie musicale sous forme d’opéra interprété par des adultes et des enfants est une démarche éducative via la danse, la musique, et le chant. Les quelques 40 artistes qui enchaînent des performances diverses sur scène ont su émerveillé le tout Paris : a coup de voix intenses, de musiques empreintes d’histoire, et de corps tout en couleur, c’est le métissage de La Reunion qui s’offre aux spectateurs émerveillés. Il y avait bien sûr beaucoup de Réunionnais expatriés dans le public, mais aussi leurs enfants qui ont grandit en France et qui ont suivis avec intérêt l’histoire de cette petite fille qui est la métaphore d’un peuple qui se cherche et se questionne. Mais la plupart des chansons et des poésies sont en Français, ce qui permettait aux personnes intéressées par cette thématique universelle de s’ouvrir à une culture qu’ils apprécient ou qu’ils avaient envie de découvrir. Car s’il est une question qui fait partie du patrimoine Réunionnais, c’est bien celle des origines, mystérieuses et ombragées et l’identité collective qui s’est construite sur le respect des différences et sur la force des peuples métissés et empreints des cultures du monde.
Le spectacle a été joué dix fois à guichet fermé l’an dernier à la Réunion et a fait salle comble les 9 et 12 mai derniers au Casino de Paris. Pour plus d’informations sur le projet, les prochaines tournées, des interviews, des photos… n’hésitez pas à vous balader sur la page Facebook de « Li Té Ve War ».
De #Gaulle et #Debré ont éliminé les Nationalistes et le peuple réunionnais par ordonnance
« Depuis 1963 , 185 000 réunionnais ont été déportés, remplacés par 125 000 zoréy. Défi est lancé à l’état français de nier ce début de génocide , pour faire de La #Réunion un pays avec une ethnie européenne majoritaire. » Citation tiré des Lambrequins de la honte , 1997.
L’ordonnance du 18 octobre 1960 n°60-1101 , fait à Paris par le président de la République Charles De #Gaulle , le premier ministre Michel Debré , le ministre délégué Pierre Guyomate, le ministre de l’intérieur Pierre Lecourt. Initialement rédigée en accord avec la loi du 4 février 1960 via l’article n°38 de la constitution , autorisant l’état à prendre des mesures relatives à la pacification , au maintien de l’ordre et à l’administration dans les #DOM. Cette ordonnance est rédigée deux ans avant l’indépendance inévitable de l’Algérie, cette dernière servira de prétexte pour autoriser l’application de mesures criminels. Mesures qui seront longuement et durement appliquées aux réunionnais.
L’ordonnance prévoit la déportation des fonctionnaires « troublant l’ordre publique ». Entendez par là que sur notre île, la grande majorité des fonctionnaires de l’époque étaient réunionnais, notamment les enseignants .
Dans les années 60 , le sentiment nationaliste prédomine dans le corps éducatif. Michel #Debré voit cela comme un danger , des instituteurs et professeurs qui éduquent leurs élèves dans l’idée d’une Réunion indépendante et nationaliste. Le cauchemar de voir une armée d’étudiants fougueux et indépendantistes se lever du jour au lendemain est insupportable pour le ministre de De Gaulle. On peut se douter qu’au début des années 60 , De Gaulle n’y croit plus à l’Algérie française, vu la raclée que se prend la France sur le terrain. Il faut éviter que l’histoire se répète ailleurs. Un durcissement est en vu pour l’outre-mer, d’où l’ordonnance Debré…
Lire la suite :
http://www.lafro-reunionnais.com/2014/06/de-gaulle-et-debre-ont-elimine-les-nationalistes-et-le-peuple-reunionnais-par-ordonnance.html
LYCEE #SCHOELCHER : DE LA MANIPULATION À LA GABEGIE
Par Francis Carole
Ainsi, pour la seconde fois, le président de la Région #Martinique annonce, par courrier au proviseur du lycée Schoelcher, le renvoi à décembre 2014 de la mise à disposition du lycée de transit, à l’ex-Maternité de Redoute. Cette échéance reste cependant aléatoire et, après les deux couacs précédents, la communauté scolaire n’est pas à l’abri d’un possible tweet annonçant, à la fin de l’année, un énième report…Quant à la livraison du lycée Schoelcher reconstruit, elle serait prévue pour 2018…
Si -par bonheur- la perspective de 2018 était tenue, cela signifierait qu’entre la décision de reconstruction du lycée Schoelcher et l’achèvement des travaux, il aura fallu pas moins d’une quinzaine d’années ! Ces contretemps successifs et les dérives financières qu’ils génèrent se veulent l’illustration parfaite de la politique irresponsable et démagogique de Serge Létchimy sur ce dossier. Ils révèlent aussi un mode de gouvernance partisan et revanchard, préjudiciable aux intérêts de notre pays et des Martiniquais.
UNE MANIPULATION DE L’OPINION PUBLIQUE SAVAMMENT ORCHESTRÉE
Rappelons, en effet, que c’est en 2002 qu’un diagnostic de structures et de stabilité aux séismes finissait de convaincre la majorité régionale d’Alfred Marie-Jeanne que la seule alternative viable consistait à reconstruire le lycée Schoelcher.
Cette décision était validée par le conseil d’administration de l’établissement le 23 mars 2004 et dès 2006 un concours d’architecture était lancé. Le mardi 29 juillet 2008, la région entamait la destruction du bâtiment G, avec un permis de démolir accordé par la Mairie de Fort-de-France. Le bâtiment G (ex-internat) représentait un « péril grave » pour la communauté scolaire, à la suite des dégâts causés par le séisme de novembre 2007; qsa fréquentation avait été interdite par la Commission de Sécurité.
C’est pourtant dans ce contexte qu’une vaste opération de manipulation de l’opinion publique fut planifiée et mise en œuvre par le néo-PPM, au détriment de la sécurité des élèves, des enseignants et des autres personnels de cet établissement.
Cette campagne, puissamment relayée par une certaine presse, s’articula d’abord autour de la banalisation des risques sismiques auxquelles se trouvaient exposés les usagers de l’établissement. « Le progressiste », journal du néo-PPM, exprimant à ce titre les positions officielles du parti, prit évidemment sa part à cette action de propagande mensongère et irresponsable.
Dans son éditorial du 4 juin 2008, pompeusement intitulé « De l’appui parasismique », c’est Didier Laguerre, premier secrétaire du parti qui écrivait :
« J’invite les Martiniquais à se souvenir du 29 novembre 2007, de ces vieux bâtiments du lycée Schoelcher que l’on veut démolir pour de sombres raisons, qui curieusement ont résisté, lorsque d’autres plus modernes, récents et parasismiques ont dû fermer de longues semaines durant ».
Ces propos, extrêmement dangereux, seront repris dans le même « Le progressiste », en particulier par une conseillère municipale néo-PPM de la ville de Fort-de-France.
Or, ceux qui se sont donnés la peine d’étudier l’histoire de ce lycée savent que dès1950, Jacques CHEVALIER, alors proviseur de cet établissement, en notait déjà les fragilités dans un rapport :
« De nombreuses galeries, ceinturant les étages, sont soutenues par des colonnes. Leur armature de fer a rouillé en maints endroits et fait craqueler les revêtements de ciment ».
Au lendemain du tremblement de terre du 19 mars 1953, le proviseur en place, R. SEGUIN, adressait au ministre de l’Education un courrier révélant l’impact du phénomène sur les bâtiments :
« J’ai l’honneur de vous rendre compte que le séisme ressenti à Fort-de-France le 19 mars 1953, de 04 h 30 à 04 h 31 environ a causé des dégâts au lycée Schoelcher. Tous les joints de dilatation placés entre les différents corps des bâtiments ont éclaté et sont à reprendre […]. Des murs de remplissage ont été fissurés, leur consolidation est à envisager… »
Peu importait aux propagandistes du néo-PPM ! Il fallait manipuler l’opinion, surtout à l’approche des élections régionales de 2010 !
Le second volet de cette campagne odieuse consistait à faire croire que l’enjeu de la reconstruction du lycée Schoelcher n’était pas la sécurité des usagers mais la volonté d’effacer le nom de Victor Schoelcher de la mémoire martiniquaise. Cette basse manœuvre fut confiée à une historienne, responsable du patrimoine de la capitale, qui, lancée dans un véritable délire anti-patriotes, en oublia vite les précautions méthodologiques et les obligations éthiques de sa discipline pour se mettre, corps et âme, au service d’une cause douteuse.
Dans France-Antilles du vendredi 5 septembre 2008, elle écrivait :
« Il ne s’agit pas seulement de résoudre un problème de vétusté et d’absence de conformité aux normes actuelles parasismiques et bioclimatiques. Cela s’apparente plutôt à une volonté d’effacer une certaine mémoire, une certaine histoire, celle de l’émancipation par l’éducation des humanités et certaines valeurs et principes dont celui de la fidélité et de la filiation, depuis Toussaint Louverture jusqu’à Aimé Césaire en passant par Victor Schoelcher… »
Elle se faisait ainsi la porte-parole zélée et sans principes de ceux qui, dans l’inénarrable « Le Progressiste » du mercredi 17 septembre 2008, accusaient « les néo-nationalistes, révisionnistes, négationnistes » de vouloir « effacer du fronton du lycée le nom de Schoelcher » et même « le nom de Schoelcher de l’histoire martiniquaise ».
Avec la distance, chaque citoyen jugera du niveau de perfidie de ces attaques.
DES COÛTS QUI EXPLOSENT
Où en sommes-nous aujourd’hui, quatre ans après l’arrivée à la tête du conseil régional de la « nouvelle gouvernance » ? Le constat est simple : le lycée Schoelcher reconstruit qui aurait dû déjà, en 2014, accueillir les jeunes Martiniquais, dans un cadre sécurisé et plus adapté aux réalités pédagogiques de notre époque, est envisagé -si tout va bien- pour 2018 ! Même le lycée de transit annoncé avec tambours et trompettes pour la rentrée 2013 ne sera pas au rendez-vous de la rentrée 2014-2015 !
Ce sont ainsi des centaines d’élèves, d’enseignants, de personnels administratifs et techniques qui, au moment même où nous écrivons ces lignes, se voient contraints, en raison de manœuvres politiciennes, de travailler dans un établissement dont le diagnostic de 2002 révélait les dangers pour les usagers.
D’autre part, les choix essentiellement politiciens et irresponsables du président de région conduisent à une explosion des coûts de reconstruction de cet établissement scolaire. Après la manipulation, ce sont donc l’incompétence et la gabegie qui se sont installées.
En effet, le coût total de la reconstruction du lycée Schoelcher (conception, démolition, reconstruction, maîtrise d’œuvre) avait été chiffré par l’équipe d’Alfred Marie-Jeanne à 59 653 000 euros. Il faut désormais y ajouter 29 millions d’euros pour la réhabilitation de l’ancienne Maternité (27 millions en autorisation de programme + 2 millions en bons de commandes). Notons que le président de région ne sait pas précisément ce qu’il fera par la suite de ce lycée de transit : tantôt il parle de le transformer en internat d’excellence, tantôt il fait état d’un foyer pour personnes âgées.
En outre, plusieurs avenants au projet de reconstruction de Victor Schoelcher, exigés par Létchimy, ont déjà porté le prix de la maîtrise d’œuvre de 4 à 5 millions d’euros (soit une augmentation d’honoraires de 17,65%). Ainsi, quand on additionne ces 30 millions aux 59 653 000 euros prévus au départ, le coût total de l’opération de reconstruction du lycée Schoelcher se monte à près de 90 millions d’euros, soit une augmentation de 50%, sans même prendre en considération la nécessaire actualisation des prix d’ici à 2018 (environ 2% par an) due au coût de la vie.
En définitive, la situation semble échapper totalement au contrôle du président de région, désormais lancé dans une folle navigation à vue et n’ayant plus ni la maîtrise du calendrier des travaux,ni la maîtrise de leur coût global.
Combien coûtera en définitive à la collectivité -et donc aux contribuables- la stratégie de manipulation entamée depuis 2008 autour de la reconstruction du lycée Schoelcher ? Est-il moralement acceptable que, pour de basses raisons politiciennes, des centaines d’usagers , en majorité de jeunes élèves, aient continué et continuent à fréquenter quotidiennement un établissement dont la dangerosité est avérée
#Martinique : Communiqué de la direction de la #Sara…
Après plus de 4 jours, les organisations syndicales en #grève ont décidé de mettre fin à leur mobilisation et de revenir à la table des négociations aux côtés de l’ensemble des organisations syndicales de la SARA.
Par cette décision, ils s’inscrivent dans le processus de négociation initialement convenu avec les partenaires sociaux. Dans un souci d’un retour rapide à la normale en ce long week-end de Pentecôte, la SARA met tout en œuvre ce samedi de manière a permettre un réapprovisionnement des stations service.
La Direction de la #SARA regrette le préjudice causé aux Martiniquais et à l’économie du département par ce mouvement de grève.
La Direction de la SARA
#UAG : enfin une bonne nouvelle
Le prix de la meilleure thèse française en sciences de l’information communication (prix du jeune chercheur) a été remis cette semaine par le président de la société française de sciences de l’information et de la communication à Martine #Bocquet, enseignante vacataire à l’UFR LSH de l’#UAG à Schoelcher en #Martinique.
Elle avait soutenu en 2013 une thèse intitulée :
Médiévalité et sémiotique dans la communication des entreprises et des institutions publiques. Comme quoi le kumquat.
Pour en finir avec le sang glauque de l’Homme #béké ?
Je croyais être le seul en #Martinique à être choqué par la démarche étonnante et malsaine de Roger Jaham le président de Tous Créoles.
En novembre 2012 Jaham dans une logique « man kè’y swen zot » proposait aux nègres de la #Martinique la résilience. Un phénomène psychologique qui consiste, pour un individu affecté par un traumatisme, à prendre acte de l’événement traumatique pour ne plus vivre dans la dépression et se reconstruire. La résilience serait rendue possible grâce à la structuration précoce de la personnalité, par des expériences constructives de l’enfance (avant la confrontation avec des faits potentiellement traumatisants) et parfois par la réflexion, ou la parole, plus rarement par l’encadrement médical d’une thérapie.
Mais cette connerie distillée par Boris #Cyrulnik, a du mal à se faire une place dans une île torturée comme la notre. Lors de la conférence des incidents ont ainsi démontré les malaises de notre société malade de cette plaie béante.
En Juin 2014, le 14 précisément #Jaham revient à la charge.
Kou ta la…euh…Cette fois, le nègre n’est plus un individu affecté par un traumatisme, il est le chieur de service, celui qui empêche le vivre ensemble, le démon, pire le caca démon, l’empêcheur, le pêcheur, le coupable, tiens…le gréviste…qui bloque…et qui pleure sur son historique sort de niqué. Aussi, il faut en finir avec le sanglot de l’homme noir.
Cette fois Jaham trouve un noir pour défendre sa thèse. Il ne pouvait rêver mieux. Un noir, noir comme hier soir.
Cette fois on ne pourra lui reprocher d’avoir pris un blanc ou un juif. Non là sé an neg kon zot. An neg nwè kon zot. Sé zot ki malad pa mwen.
Seul hic, je ne suis plus le seul à voir le démon qui vit en Jaham…hier…une femme a publié sur #Facebook son intime conviction. Et rien que pour ça je lui dis MERCI. Merci Aïsha Ghanty.
Gilles dégras
Île de La #Réunion : ces chiffres qui font peur…et réfléchir
850 000 habitants, 116 000 illettrés, 342 000 personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté, 135 000 chômeurs. Mais dans un contexte pareil, les chiffres les plus surprenants ce sont les salaires des élus qui…bon bref.
Indemnités des maires à l’île de La Réunion
Saint-Paul, Joseph Sinimalé 6 615 € brut
Saint-Denis Gilbert Annette 4 598,85 € brut
Saint-Pierre, Michel Fontaine 4 181,62 € brut
Le Tampon, André Thien Ah Koon 4 181,62 € brut
Saint-Joseph, Patricl Lebreton 3421 € brut
La Possession, Vanessa Miranville 3400 € brut
Saint-Leu, Thierry Robert 3300 € brut
Le Port, Olivier Hoarau 3300 € brut
L’Etang-Salé Jean-Claude Lacouture 3152 € brut
Saint-André, Jean-Paul Virapoullé 3131 € brut
Sainte-Marie, Jean-Louis Lagourgue 3125 € brut
Saint-Benoît Jean-Claude Saint-Pierre, 3074 € brut
Saint-Louis,Cyrille Hamilcaro 2793 € brut
Sainte-Suzanne, Maurice Gironcel 2766 € brut
Les Avirons, Michel Dennemont 2470 € brut
Bras-Panon, Daniel Gonthier 2185 € brut
Entre-Deux Bachil Valy 2146 € brut
Cilaos Paul Técher 2090 € brut
Saint-Philippe, Olivier Rivière 2 090,81€ brut
Petite-Île, Serge Hoareau 2017 € brut
Sainte-Rose, Bruno Mamindy-Pajany 2000 € brut
La Plaine-des-Palmistes, Marco Boyer 1800 € brut
Trois-Bassins, Daniel Pausé 1550 € brut
Salazie, Stéphane Fouassin 781,39 € brut
Mais les élus de l’île qui savent savamment faire de la politique un métier ont plus d’un tour dans leurs poches. Les cumulards s’en mettent plein les fouilles. Passant allègrement du simple au double. La population elle est férue de rougail saucisse. À chacun son truc.
En #Martinique …l’eau c’est le vit. Et vlan.
En #Martinique l’eau d’#Evian vaut de l’or. Et même plus en sus quand ça passe au niveau de l’anus. Les us et autres usages des hypers ne manquent pas de repères tellement ça errent dans la tête du consommateur indigène. Comparez les prix en #France, à l’île de La Réunion et vous comprendrez pourquoi la matière fait cale dans l’île qui manque de plus en plus d’ingénierie et de gouvernance au cœur de la démocratie participative.
#Carrefour Saint-Suzanne île de La #Réunion
#Auchan #France
#Martinique
Comment accepter l’inacceptable ?
Cette « Lettre ouverte à Benoît Hamon » sur la situation de l’UAG a été signée par plus de 300 universitaires de divers pays (Martinique, Guadeloupe, Guyane, France, Allemagne, Etats-Unis, Canada, Tunisie, Sénégal etc…), des enseignants de secondaire et du primaire ainsi que d’autres professions…
Monsieur le Ministre de l’Education Nationale, Nous vous prions de bien vouloir prendre connaissance de la lettre ouverte ci-après :
La vérité doit être dite sur ce que Corinne Mencé-Caster, en tant qu’universitaire, femme, mère et citoyenne, vit depuis plusieurs mois et qui, par-delà sa simple personne, a des répercussions très lourdes sur l’enseignement supérieur et la recherche dans nos régions.
Comment expliquer qu’une institution, comme l’UAG, qui a mis entre 30 et 40 ans à se construire, puisse exploser en moins de 6 mois, au point que soit envisageable la création de trois micro-universités ?
Comment ne pas établir un lien entre les audits lancés, la politique de rationalisation et d’assainissement mise en œuvre, la volonté de transparence avec la communauté et cette subite explosion ?
Pourquoi ce déchaînement de passions et de violences envers une femme présidente, démocratiquement élue ? Envers une équipe de gouvernance qui manifestement s’essaie à déployer un outil sain et solide au service de nos jeunes, moins jeunes et de nos territoires ?
Acte 0 : fin janvier 2013-octobre 2013
Election de Corinne Mencé-Caster à la présidence de l’Université des Antilles et de la Guyane
Passage aux RCE : salaires garantis/maintien de tous les personnels en CDD et début de la mise en œuvre d’une politique de résorption de la précarité/demandes d’audit et renouvellement de l’équipe de direction administrative/ début d’une politique de rationalisation de la gestion et de rééquilibrage des moyens au sein de l’université
organisation d’un débat au conseil d’administration sur le Rapport de la Cour des Comptes
Acte I : Octobre-décembre 2013
Annonce en fin septembre 2013 d’un conseil d’administration en Guyane le 15 octobre, avec à l’ordre du jour, le rééquilibrage des moyens. Il est prévu d’attribuer en 2014, cinq postes à la Guyane.
8 octobre 2013 : début de la grève en Guyane.
Après cinq semaines de grève en Guyane, le gouvernement, soutenu par les parlementaires guyanais, décide de créer une université de plein exercice en Guyane en 2015 ou 2016.
L’intersyndicale obtient du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche la destitution de deux élus (directeur de l’IESG/ Vice-président du pôle universitaire guyanais), alors que le rapport de l’inspection générale leur est favorable.
Aucune référence ou mention n’est faite des pôles Guadeloupe et Martinique. Un mouvement se déclenche en Martinique, mené par les étudiants et soutenu par la grande majorité des personnels administratifs et enseignants du pôle universitaire de Martinique.
Leur slogan : 3 pays, une seule jeunesse/Respectez-nous
Leurs revendications : Pa désidé ban ou san nou (ne décidez pas à notre place)
En début d’année universitaire, est décidée la création en urgence d’une université en Guyane, qui déstructure l’actuelle UAG, sans concertation avec la communauté universitaire, sans consultation des parlementaires martiniquais et guadeloupéens, et en l’absence de dialogue avec la présidente de l’université. Alors qu’il y a une présidente de l’UAG en exercice élue depuis seulement 8 mois, le Ministère nomme une administratrice provisoire du pôle universitaire guyanais qui fait office de présidente de la Guyane.
Quel respect pour la présidente en place ? Pour les processus démocratiques ? Pour l’autonomie des Universités ?
La Garde des Sceaux, Christiane Taubira, qui pose en photo avec l’intersyndicale, est présente lors de la signature du protocole de fin de conflit avec le préfet et le recteur. La présidente de l’UAG n’a pas été conviée. Le directeur de cabinet de la ministre de l’ESR lui a dit qu’il s’agit d’une « affaire d’Etat ». Pourquoi aucun média n’a-t-il clairement dénoncé cette manipulation inacceptable qui conduit en moins de 5 semaines à la décision unilatérale de scinder un établissement vieux de 30 ans et implanté sur trois régions ?
Rappel : la Conférence des Présidents d’Université prend une motion à l’unanimité pour dénoncer cette violation de la démocratie et de l’autonomie des universités.
Acte II : janvier-mars 2014
Après un retour à la normale manifesté par la tenue d’un conseil d’administration de l’UAG, le 16 décembre 2013, en présence des 3 recteurs d’académie, nouveau coup de théâtre : la création de l’université de la Guyane est annoncée en mai 2014, toujours sans concertation avec la présidente de l’UAG et la communauté universitaire dans son ensemble.
Aucune réponse n’est apportée à la présidente aux questions pratiques qu’elle a posées depuis le 6 février au Ministère, sur les conséquences d’une décision aussi brutale.
En revanche, il est demandé aux pôles universitaires de Guadeloupe et de Martinique de choisir leur avenir. Le MESR se montre alors curieusement respectueux de l’autonomie des universités.
En pleine année universitaire, on annonce à la présidente de l’UAG, que dans quelques mois, sera nommé un président de l’Université de Guyane sans l’en informer au préalable dans un entretien, sans lui dire ce qu’elle deviendra, elle et ses conseils élus, elle et son équipe de gouvernance, elle et cette université dont elle a la responsabilité.
Pendant qu’on bafoue ainsi sa fonction et l’autonomie de l’université qu’elle préside, il lui est demandé de mener une concertation et une consultation dans un contexte de tensions prévisibles et attendues. Comment retrouver un climat de sérénité, quand coup après coup, on démantèle une structure sur laquelle repose l’avenir de la formation supérieure et de la recherche dans nos régions ? Comment construire sur la dépouille d’une institution vénérable que les pères fondateurs ont mis entre 30 et 40 ans à construire et à développer ?
Acte II bis : et si nous parlions du CEREGMIA ?
Parallèlement à cette mise à l’écart, à la violation totale de sa fonction, la présidente de l’UAG se trouve confrontée en interne à des affaires financières très graves, liées au laboratoire CEREGMIA. Subissant des agressions permanentes par les auteurs présumés des faits qui lui adressent des courriels d’une violence extrême – mails à la fois sexistes, diffamatoires-, la présidente doit dans le même temps, gérer l’annonce unilatérale de la création de l’université de Guyane dès mai 2014 et de la publication prochaine d’un décret qui ne dit rien sur le « morceau restant ». Elle doit aussi faire face aux auditions de police, aux missions d’inspection générale et sénatoriale présentes dans l’établissement, aux rencontres avec le cabinet d’audit qui révèlent progressivement de graves irrégularités au sein d’un établissement qui ne dispose plus de la majorité de ses pièces comptables. L’annonce le 21 mars 2014 du procureur de la République de Fort-de-France indiquant que de « graves soupçons d’escroquerie en bande organisée » pesaient sur ce laboratoire et le conduisaient à prendre la décision d’ouvrir une information judiciaire, renforçait la conviction déjà exprimée par la présidente de l’UAG d’une gestion financière opaque et malveillante.
Une présidente confrontée à des affaires financières graves qui font peser sur elle des menaces importantes pour sa vie et qui, de plus, doit faire face à une triple déstabilisation de sa gouvernance :
en interne : par des mails injurieux et des accusations fallacieuses, de la part des personnes mises en cause dans les enquêtes administratives et judiciaires en cours et qui ne se privent pas, réussissant l’exploit d’envoyer plus de 80 mails en moins de 8 semaines / par le blocage du pôle Guadeloupe par une intersyndicale qui prétend défendre les moyens de la Guadeloupe au plan universitaire, mais sans jamais évoquer la question pourtant publique des déficits financiers très probables de l’UAG, menaçant donc les moyens de l’institution, en regard de la gestion catastrophique du laboratoire CEREGMIA/par une indifférence totale des autorités aux divers appels au secours des élus et autres membres de la communauté universitaire du pôle Guyane, en prise avec les positions de l’intersyndicale violant les principes universitaires.
en externe, par l’accélération du calendrier de création de l’université de Guyane ramenée de septembre 2016 à mai 2014. Comment justifier une telle accélération du calendrier pour la Guyane et donc pour les Antilles ? De tels silences en interne sur des agressions publiques de la présidente en exercice ? Sur les irrégularités du CEREGMIA ?
Est-il possible de faire subir de telles pressions à une présidente en début de mandat et de tenter de justifier cela par le fait qu’elle est martiniquaise et qu’elle n’avait donc pas à se porter candidate à la présidence de l’UAG, alors qu’elle a été élue par un conseil d’administration paritaire ? La revendication muette de l’intersyndicale en faveur d’une université de la Guadeloupe, n’est-elle pas de juger désormais intolérable que des candidats martiniquais à la présidence de l’Université des Antilles, puissent encore se faire élire, au détriment des candidats guadeloupéens ? La présidence alternée, si elle résoudra ce problème d’ego territorial, ne créera-t-elle pas d’autres problèmes bien plus insolubles ?
Acte III : Comment accepter l’inacceptable ?
Comment expliquer qu’un besoin d’université soit si pressant qu’on décide de créer effectivement cette université en moins de 6 mois, en pleine année universitaire ? Comment accepter qu’on annonce la nomination d’un président de l’université de la Guyane, sans en référer d’abord, ne serait-ce qu’au nom de la plus élémentaire correction, à la présidente en exercice de l’UAG ?
Comment comprendre que pendant que l’on s’essaie à mettre en œuvre un processus démocratique de consultation de la communauté universitaire, un blocage soit organisé sur le pôle Guadeloupe pour empêcher toute préparation et organisation de ce processus ?
Comment justifier que le MESR et le premier ministre qui ont pris, en cinq semaines, la décision de créer une Université en Guyane pour 2000 étudiants, ne veuillent pas s’engager plus fermement pour le seul modèle universitaire viable en Guadeloupe et en Martinique, à savoir une Université des Antilles ?
Comment expliquer que, pendant plus de quinze ans, un laboratoire CEREGMIA, ait pu se livrer ainsi en toute impunité à une gestion si opaque des fonds publics sans sanction ?
Doit-on en conclure que les DOM sont des territoires tellement à part que le droit ne puisse prévaloir et que les ferments dictatoriaux et les coups d’état, même embryonnaires, puissent y trouver un espace de développement ?
Finalement, interrompra-t-on le mandat de Corinne Mencé-Caster sans la prévenir, après lui avoir fait subir de tels préjudices, elle, la présidente qui a eu le courage de dénoncer des malversations et des pratiques qui durent depuis plus de vingt ans ?
SIGNATAIRES :
1. ABAUL Jacqueline, professeur des universités, directrice de l’Ecole doctorale de l’UAG, ancienne présidente de l’UAG, ancien recteur d’Académie/ (Guadeloupe) 2. ADER Monique, secrétaire médicale (France) 3. ANAKESA Apollinaire, professeur des universités (IESG Guyane) 4. ANICET Victor, céramiste (Martinique) 5. ANSELIN Alain, anthropologue (Martinique) 6. APPERE Guy, directeur du SUAPS, Université de Strasbourg (France) 7. APPIN Morgan, kiné (Martinique) 8. ARETHAS Maryse, responsable administrative (IESG Guyane) 9. ARMET Nicolas, universitaire (Nouvelle-Calédonie) 10. ARNOUX-NICOLAS Jocelyne, psychologue clinicienne (Martinique) 11. ARSAYE Jean-Pierre, écrivain (Martinique) 12. ARSENE Marie-Ange, professeur des universités, vice-présidente du Conseil scientifique de l’UAG (Guadeloupe) 13. ARTHERON Alain, infirmier (Martinique) 14. ARTHERON Axel, PRCE en lettres modernes (Faculté LSH, Martinique) 15. ARTHERON Evelyne, infirmière (Martinique) 16. AUBERT Pascale, directrice du SUAPS, Université de Bordeaux (France) 17. AUGUIAC Max, ancien consultant international/ancien maître de conférences associé à l’UAG (Martinique) 18. AURELIA Dominique, maître de conférences en anglais (Martinique) 19. AZOR Reine, responsable administrative (ESPE Guyane) 20. BAGUELIN Xavier, directeur du SUAPS, université de Rouen (France) 21. BANARE Eddy, ancien étudiant à l’UAG/enseignant (Nouvelle-Calédonie) 22. BARNECHE Sophie, maître de conférences (ESPE Guyane) 23. BAUER Herbert, ingénieur HBL retraité (Forbach, France) 24. BE-GROSMANGIN Raphaëlla, directrice territoriale au Conseil général (Martinique) 25. BELLEMARE Roger, enseignant retraité (Martinique) 26. BELISAIRE Joëlle, commerciale (Martinique) 27. BELIZAIRE Micheline, adjoint technique (Faculté LSH, Martinique) 28. BELROSE Maurice, professeur émérite des universités (Martinique) 29. BENOIST Jean, professeur des universités émérite (France) 30. BERARD Benoît, maître de conférences en histoire (Martinique) 31. BERNABE Jean, professeur des universités émérite (Martinique) 32. BERNABE Marie-Françoise, conservateur honoraire (Martinique) 33. BEROARD Jocelyne, artiste (Martinique) 34. BERTHET Dominique, professeur des universités (Martinique) 35. BERTHOME Jacky, CPE (Martinique) 36. BERTIN André, médecin (Guadeloupe) 37. BERTIN Thierry, gérant d’entreprise (Guadeloupe) 38. BERTIN-ELISABETH Cécile, professeur des universités (Martinique) 39. BIZON Marie-Ange, ingénieur d’études (Martinique) 40. BOUILLET Bernard, directeur du SUAPS, université de Lyon 2 (France) 41. BOUKMAN Daniel, écrivain/militant culturel (Martinique) 42. BOULANGE Floriane, traiteur (Martinique) 43. BOURREAU Francis, directeur du SUAPS, université de Tours (France) 44. BOUTAMINE Nedja, commerciale (Martinique) 45. BOUTILLIER Stéphane, directeur du SUAPS, université Paris Dauphine (France) 46. BOUTRIN Louis, conseiller régional (Martinique) 47. BRICHET Olivier, directeur du SUAPS, université d’Avignon (France) 48. BRIGNON Olivier, directeur du SUAPS, université de Toulouse 3 (France) 49. BROCHE-JARRIN Josiane, psychologue/chargée de cours UFR Lettres (Martinique) 50. BUSSY Solange, maître de conférences en espagnol (Martinique) 51. CADROT Catherine, directrice d’établissement hôtelier (Guadeloupe) 52. CAGE Nicole, écrivain/artiste (Martinique) 53. CALIARI Peddy, maître de conférences en Sciences de l’Education (Martinique) 54. CARDOU Leïla, service modélisation LSH (Faculté LSH, Martinique) 55. CAROTINE Magali, gestionnaire de scolarité (Faculté LSH, Martinique) 56. CASANOVA Albert, commercial (France) 57. CASANOVA Evelyne, employée de banque (France) 58. CASANOVA Robert, cadre préfecture (France) 59. CASANOVA Rosy, sans profession (France) 60. CASANOVA Yves, employé du service des eaux (France) 61. CASSAN Jean-Yves, directeur du SUAPS, université de Montpellier 1 (France) 62. CELESTINE Laurette, maître de conférences en lettres modernes (ESPE-Martinique) 63. CELIS Nadia, associate profesor, department of romance languages, Bowdoin College (USA) 64. CHALI Jean-Georges, maître de conférences en Lettres modernes (Martinique) 65. CHALI Jean-Marie, étudiant en aménagement (Martinique) 66. CHALI JOrry, étudiant en aménagement (Martinique) 67. CHALI Marie-Adélaïde, rédactrice communale DGA (Martinique) 68. CHALI Maristelle, étudiante en cinéma (Martinique) 69. CHARLES-CHARLERy Clarissa, doctorante (Martinique) 70. CHARLES-ELIE-NELSON Joséphine, coiffeuse à domicile (Martinique) 71. CHARPENTIER Alex, cadre de banque retraité (Martinique) 72. CHARPENTIER-TITY Jacques, retraité conseiller technique régional DDJS (Martinique) 73. CHAULEAU Félix, avocat en retraite, ancien bâtonnier (Martinique) 74. CHEVREL-BREARD Muriel, directeur du SUAPS, université de Reims (France) 75. CHICATE-MOIBERT Simone, informaticienne retraitée (Guadeloupe) 76. CLARY Olivier, directeur du SUAPS, université de Polynésie (Tahiti) 77. CLEMENT Frédéric, directeur du SUAPS, université de Lille 3 (France) 78. COCOTTE Elodie, contractuelle (Martinique) 79. CONFIANT Miguel, inspecteur des finances publiques (Guadeloupe) 80. CONFIANT Raphaël, professeur des universités/écrivain (Martinique) 81. CONSEIL Malissa, PRCE d’espagnol (Martinique) 82. COTIN Olivier, directeur du SUAPS, université de Lorraine (France) 83. CRONARD Mirella, gestionnaire de scolarité (Faculté LSH, Martinique) 84. CUVILLIER Fabrice, directeur du SUAPS, université de Lille 1 (France) 85. CYRILLE Dominique, ethnomusicologue, chercheure responsable de mission « Patrimoine » (Guadeloupe) 86. DAFF Moussa, professeur des universités (Université Cheik Anta Diop (Sénégal) 87. DAHLET Patrick, maître de conférences en SLA/FLE retraité de l’UAG (Brésil) 88. DALLA PIETRA Luc, directeur du SUAPS, université de Savoie-Chambéry (France) 89. DARGELOS Régis, directeur du SUAPS, université de Nîmes (France) 90. DAVIDAS Brice (Martinique) 91. DAVIDAS Didier, infirmier (Martinique) 92. DAVIDAS Lionel, professeur émérite des universités (Martinique) 93. DE BOEVER Eric, directeur du SUAPS, université Lyon 3 (France) 94. DELAPORTE Mickaël, directeur du SUAPS, université de Toulon (France) 95. DELCROIX Antoine, professeur des universités (ESPE-Guadeloupe) 96. DELEPINE Pascaline, enseignante au SUAPS, université Lyon 3 (France) 97. DEMUTH Xavier, directeur du SUAPS, université de Haute-Alsace (France) 98. DESROCHES Monique, professeur titulaire/directrice du LEO et du LRMM/OICRMM (Université de Montréal, Canada) 99. DICANOT Pascal, agent technique SUAPS (Martinique) 100. DISCALA Francine, retraitée de l’Education nationale (France) 101. DISCALA George, agent commercial retraité (France) 102. DISLAIRE Florence, enseignante au SUAPS, université de Lille 3 (France) 103. DOBAT Daniel, enseignant contractuel (Martinique) 104. DONATIEN Patricia, maître des conférences HDR en anglais (Martinique) 105. DORVILLE René, maitre de conférences en mathématiques (Guyane) 106. DUBERTRAND Hervé, directeur du SUAPS, UPPA (France) 107. DUBOC Guenaëlle, directrice du SUAPS, université du Havre (France) 108. DUBOS Pascal, PRCE SUAPS (Martinique) 109. DULORME Jéranie, professeur des écoles (Guadeloupe) 110. DUMONT Pierre, professeur des universités émérite (Martinique) 111. DUPLAN Miguel, conseiller principal d’éducation/écrivain (Guyane) 112. DUPONT Marc, directeur du SUAPS, université de Clermont (France) 113. DURANTY Jude, bibliothécaire/écrivain (Martinique) 114. DUVERNEUIL Bruno, directeur du SUAPS, université de Bordeaux 3 (France)= 115. EBION Roger, enseignant retraité (Martinique) 116. EDOUARD Lucienne, enseignante/doctorante (Martinique) 117. EDWARDS Carole, associate profesor, Texas Tech University (Texas, USA) 118. EL-AZHARI Georges, commerçant (Guadeloupe) 119. ELBAZ Gilbert, professeur des universités (Martinique) 120. EMMANUEL Huguette, enseignante retraitée (Martinique) 121. ETCHETO Pascale, enseignante au SUAPS, université Bordeaux 3 (France) 122. ETIENNE Jane, professeur certifié (Martinique) 123. FARDEAY Anyse, secrétaire (IESG Guyane) 124. FEDEE Mike, intermittent du spectacle (France) 125. FEDEE Simone, professeur agrégée, directrice du SUAPS (Martinique) 126. FONS Jean-Philippe, maître de conférences en études anglaises (Guyane) 127. FOTSING Jean-Marie, professeur des universités (Guyane) 128. FRANCIS Gladys, Assistant Profesor of French and Francophone Studies, Georgia State University (Atlanta, USA) 129. FROUSTEY Jean-François, directeur du SUAPS, université de Paris 2 (France) 130. GADET Steeve, maître de conférences en anglais (Martinique) 131. GENDREY Carine, professeur certifié (Martinique) 132. GEORGES Bady, commerçant (Guadeloupe) 133. GEORGES Edith, agent commercial Air France retraitée (Guadeloupe) 134. GEORGES Gregory, commerçant (Guadeloupe) 135. GEORGES Guy, commerçant/conseiller général (Guadeloupe) 136. GEORGES Patricia, professeur de chimie (Guadeloupe) 137. GEORGES Sébastien, informaticien (France) 138. GERMAIN Raymond, PRCE SUAPS (Guadeloupe) 139. GIUSANO Daniel, instituteur retraité (France) 140. GIUSANO Jacqueline, enseignante retraitée (France) 141. GODONAISE Laurent, PRCE SUAPS (Martinique) 142. GOURG Claude, professeur des universités (Guyane) 143. GRANT Elisabeth, traductrice (Martinique) 144. GRATIEN René, informaticien (Martinique) 145. GUGLIELMETTI Yohann, réalisateur (Martinique) 146. GUILLOT Mélanie, directrice du SUAPS, université de Caen (France) 147. HAUTCASTEL Patricia, documentaliste (Guadeloupe) 148. HAUTCASTEL Renée, enseignante retraitée (Guadeloupe) 149. HAMMON Charlotte, ancienne lectrice à l’UAG, doctorante à Royal Holloway, London University (Angleterre) 150. HERISSON Mylaine, responsable Pôle Vie étudiante (Faculté LSH, Martinique) 151. HEBRAUD Anne, directrice du SUAPS, université Toulouse 2 (France) 152. HERTAUT Michel, directeur du SUAPS, université Paris 8 (France) 153. HEUDRE Géraldine, professeur certifié de maths (Guadeloupe) 154. HEUDRE Lydia, fonctionnaire de police retraitée (Guadeloupe) 155. HUBERT Muriel, secrétaire (IESG Guyane) 156. JOACHIM Jean-Louis, maître de conférences en espagnol/directeur du département d’espagnol (Martinique)
157. JOSEPHINE Laurence, aide-soignante (Martinique) 158. JOSEPHINE Marie-Louise, secrétaire comptable (Martinique) 159. IFFIG-DUFOUR Rachel, enseignante (Avignon, France) 160. KECLARD Serge, enseignant/écrivain (Martinique) 161. KHATILE David, professeur d’anthropologie au CCA et au CEFEDEM-Normandie (France) 162. KLEIBER Georges, professeur des universités émérite (Strasbourg, France) 163. KOULAYAN Nicole, professeur des universités (Martinique) 164. KOWALSKI SETTI Ourdia, professeure documentaliste (Metz, France) 165. LACHERE Céline, secrétaire de maison de retraite (France) 166. LACHERE Richard, paysagiste (France) 167. LAFLEUR Edwige, business support specialist (Harvard University, USA) 168. LAHEURTE Hervé, directeur du SUAPS, université de Reims (France) 169. LAHELY Claude, coiffeur (Martinique) 170. LAISNEY Alain, commerçant (Marseille, France) 171. LAISNEY Monique, secrétaire médicale (Marseille, France) 172. LAMIC Nicolas, socioprofessionnel/chargé de cours (Martinique) 173. LANCASTRE Dominique, steward sur British Airways/écrivain (Guadeloupe) 174. LANOE Corinne, directrice du SUAPS, université de Grenoble (France) 175. LARIZZA Olivier, maître de conférences en anglais (Martinique) 176. LAROCHE Christophe, directeur du SUAPS, université d’Artois (France) 177. LAROUE Viviane, enseignante contractuelle (Martinique) 178. LATIGES Agnès, dentiste (France) 179. LATIGES Daniel, figuriste (Martinique) 180. LATIGES Clarisse, pharmacien (France) 181. LATIGES Yolaine, enseignante (Martinique) 182. LAURENCE Gracienne, sage-femme (Martinique) 183. LAUREOTE Karen, ATER en LCR (Martinique) 184. LEBRINI Mounim, maître de conférences (IESG Guyane) 185. LE DU Jean, professeur des universités émérite, université de Bretagne occidentale (France) 186. LE GUEN Jean-Yves, directeur du SUAPS, université de Tours (France) 187. LEITERER, Patrick, retraité (Case-Pilote, Martinique) 188. LEFRANCOIS Frédéric, PRCE d’anglais (Martinique) 189. LEOTIN Térez, écrivaine (Martinique) 190. LEPAIN Bernard, électronicien en aéronautique (France) 191. LEROY David, enseignant au SUAPS, université de Rouen (France) 192. L’ETANG Gerry, maitre de conférences en anthropologie (Martinique) 193. LITAMPHA Léandre, retraité de l’Education nationale (Martinique) 194. LOUIS-MARIE Gabrielle, enseignante (Martinique) 195. LOZERE Christelle, maître de conférences en histoire (Martinique) 196. LUDWIG Ralph, professeur des universités (Halle, Allemagne) 197. MADRE Tony, cadre administratif (Martinique) 198. MAILLARD Gary, directeur du SUAPS, université de Bourgogne (France) 199. MARC Sonia, artiste (Martinique) 200. MARCELIN Odile, maître de conférences en biochimie (DSI, Martinique) 201. MARIE Alain, retraité d’Air France (Guadeloupe) 202. MARIE Christiane, cadre d’Air France (Guadeloupe) 203. MARIE-SAINTE Daniel, conseiller régional (Martinique) 204. MARION Gabriel, professeur des universités (Martinique) 205. MASSE Mario, artiste (Martinique) 206. MASSE Maud, artiste(Martinique) 207. MAUPU Patrick, directeur du SUAPS, université Paris 11 (France) 208. MAUREAUX Solange, retraitée de l’Education nationale (Guadeloupe) 209. MERLIN Manuella, TCH RF, SUAPS (Martinique) 210. MFOUILOU Dominique, écrivain (Congo) 211. MICHALON Max, ancien professeur de psychiatrie à l’Université de Dalhousie (Canada) et au CHUM de Martinique (Martinique) 212. MILED Mohammed, professeur des universités (Université de Carthage, Tunisie) 213. MILIENNE Annie, retraitée de banque (Martinique) 214. MILIENNE Olivier, sans profession (Martinique) 215. MISOFFE Marie-Paule, enseignante au SUAPS, université de Strasbourg (France) 216. MITANNE Sarah, PRCE SUAPS (Guadeloupe) 217. MOISE Gilbert, enseignant (France) 218. MOISE Gisèle, secrétaire d’agence de voyage (France) 219. MOISE Myriam, docteur en littératures anglophones (ESPE-Martinique) 220. MONTLOUIS Albert, chef de service établissement financier (Martinique) 221. MONTLOUIS-FELICITE Thierry, demandeur d’emploi (Martinique) 222. MORETTO Jean-Luc, enseignant au SUAPS, université de Poitiers (France) 223. MOURIESSE Marie-Line, professeur de lettres (Lycée de Bellevue, (martinique) 224. NAIT RABAH Ouacène (IESG Guyane) 225. NAIT Véronique, responsable Centre documentation Groupe ISA (France) 226. NARFEZ Roger, maître de conférences associé (IESG Guyane) 227. NEIGEME Glasgow-Maeda, ancien lecteur à l’UAG, film maker and Director of Caribbean Film Corner (Londres, Angleterre) 228. NELZY-ODRY Nady, agent culturel/dramaturge (Martinique) 229. NEMOR Julie, responsible de la scolarité (IESG Guyane) 230. NEREE Marcel, PRAG en espagnol (Martinique) 231. NESMON Nelly, enseignante (Martinique) 232. NITIGA Gisèle, professeur de lettres (Mayotte) 233. NOEL Erick, professeur des universités (Martinique) 234. NOVACK Sunhae, maître de conférences (ESPE Guyane) 235. OVIDE Marie-José, cadre administratif (France) 236. PAOLO Karl, conseiller en formation continue (Martinique) 237. PARTEL Stéphane, maître de conférences (Faculté LSH, Martinique) 238. PATOUT Emmanuelle, directrice du SUAPS, université d’Orléans (France) 239. PAVILLA Lucien, bibliothécaire (Martinique) 240. PEAUD Jean, retraité de l’Université populaire des Olonnes (France) 241. PELAGE Mirella, secrétaire (Faculté LSH, Martinique) 242. PELAGE Raymonde, retraitée (Martinique) 243. PERMAL Victor, plasticien (Martinique) 244. PERRET Jacques, enseignant-formateur retraité (France) 245. PERONET Philippe, maçon (Martinique) 246. PIETRINI Alexandre, directeur du SUAPS, université d’Angers (France) 247. POULLET Hector, écrivain (Guadeloupe) 248. PROUCHET Patrice, enseignant au SUAPS, université d’Angers (France) 249. QUENEHERVE Patrick, représentant de l’IRD (Institut de Recherche pour le Développement), (Martinique-Bassin caribéen) 250. RAGUET Christine, professeure des universités/traductrice (La Sorbonne Nouvelle-Paris 3, France) 251. RAMATHON Jean-Philippe Michel, professeur-documentaliste (Martinique) 252. RAMOS Rodolphe, agriculteur (Martinique) 253. RAOULT Pascal, enseignant au SUAPS, université de Tours (France) 254. REMION Nicole, professeur de maths/sciences (Martinique) 255. RIBA Patrick, maître de conférences en FLE (ICEFI, Faculté LSH, Martinique) 256. RIZO Joachim, enseignant au SUAPS, université de Bordeaux (France) 257. ROBERT Florent, maître de conférences HDR (IESG Guyane) 258. ROGER Aurélie, maître de conférences en Sciences politiques (Martinique) 259. ROGERS Dominique, maître de conférences en histoire (Martinique) 260. ROMERO Yvette, PHD, profesor of Spanish, chair of Modern Languages and Culture, Marist College (New-York, USA) 261. ROOS Christophe, professeur des universités (Guyane) 262. SABINE Evelyne, professeur retraitée (Martinique) 263. SABINE Jocelyne, principal de collège (Martinique) 264. SABINE Sophia, masseur kinésithérapeute (Martinique) 265. SAE Robert, retraité de l’Education nationale (Martinique) 266. SAHAI Jean-Samuel, écrivain/conférencier (Guadeloupe) 267. SAINTE-LUCE Edmire, assistante de direction (PUR, Guyane) 268. SAINTE-ROSE Fernand, Service universitaire territorial de la Formation continue (Martinique) 269. SALVIN Paule, maître de conférences (IESG Guyane) 270. SAVAJOL Béatrice, directeur du SUAPS, université Montpellier 3 (France) 271. SAVY Mireille, gestionnaire de scolarité (Faculté LSH, Martinique) 272. SCHEEL Charles, professeur des universités (UAG, Martinique) 273. SCHIMPFF Laurent, directeur du SUAPS, université du Littoral (France) 274. SCHUMBERGER Nathalie, professeur agrégé de maths (France) 275. SCHUMBERGER Yves, ingénieur EDF (France) 276. SCLEAR PATRICE, directeur du SUAPS, université Rennes 1 et 2 (France) 277. SCRIBEKONATE Virginie, directeur du SUAPS, université de Picardie (France) 278. SERAPHIN Hughes, ancien étudiant à l’UAG, associate profesor, Winchester University (Hampshire, Angleterre) 279. SETTI Skora, maître de conférences en anglais (Martinique) 280. SILPA Fabrice, maître de conférences en Sciences du langage (Martinique) 281. SMITH-RAVIN Juliette, maître de conférences HDR en biologie (DSI, Martinique) 282. SOPAWIRO Debby, assistante de direction (IESG Guyane) 283. SSOSSE Valentine, assistante de direction (ESPE Guyane) 284. SOTIER Sylvain, adjoint technique (Faculté LSH, Martinique) 285. SPRINGER Michelle, ancienne étudiante à l’UAG, lecturer at the University of the West-Indies (Barbade) 286. SUFRIN Sandra, gestionnaire de comptabilité (Faculté LSH, Martinique) 287. SYLVESTRE Annick, bibliothécaire en retraite/écrivain (Martinique) 288. THUEL CHAZOT Sibylle, directrice du SUAPS, université Saint-Etienne (France) 289. TISSERAND Ghislaine, infirmière psychiatrique (Martinique) 290. TOTO Karl, retraité (Martinique) 291. TOTO Mony, contrôleur des finances (France) 292. TOTO Véronique, designer (Martinique) 293. URENA RIB Pedro, maitre de conférences retraité (Guyane) 294. VADIUS Marie-Aline, directrice des ressources humaines (Canada) 295. VALY-PLAISANT Roger, enseignant/écrivain (Guadeloupe) 296. VEBOBE Saint-Yves, cadre retraité d’Air France (Martinique) 297. VERDELHAN Daniel, directeur du SUAPS, université Montpellier 2 (France) 298. VERDIE Yvan, directeur du SUAPS, université de Perpignan (France) 299. VERGA Marie-Jeanne, retraitée CCI (Guadeloupe) 300. VERROUST Gérard, enseignant chercheur retraité à Paris VII (France) 301. VETE-CONGOLO Hanétha, Associate Profesor of Romance Languages (Bowdoin College, Maine, USA) 302. VOISIN Jean-Georges, conseiller consultatif CCEE (Martinique) 303. VICAN Catherine, directrice du SUAPS, université de Corse (France) 304. VIGIER Claude, directeur du SUAPS, université de Grenoble (France) 305. WEN Hui-Ping, maître de conférences en Sciences de l’Education (Martinique) 306. WENDLING Olivia, directrice du SUAPS, université Grenoble 2 (France) 307. WILLORDIN Victorine, assistante de gestion (Martinique) 308. ZIDEE Claudine, retraitée (Martinique) 309. ZONGO Pascale, maitre de conférences (ESPE Guyane) 310.
Audrey #Pulvar entre jeu de jambes et jeu de main
Venue assister à la finale dames du tournoi de Roland -Garros, Audrey #Pulvar n’a pas eu à monter au filet pour faire admirer son jeu de jambes. Sentant qu’elle était focalisée par les photographes présents, la miss a usé sans se priver de sa main pour notamment protéger tant bien que mal sa vie privée.